4 avril 2009
Derrière les murs de vos cités.
Le carnaval est permanent ;
Il termine demain ;
J'ai ressorti le manteau blanc du vide de l'oubli.
Cette nuit, j'ai rêvé du temps qui passe et m'échappe ;
De poissons rouges nageant au-dessus de la moquette ;
Dévorant ses cheveux, son visage ; d'ange.
J'ai le souvenir vague d'un autre carnaval ;
Lointain, un visage, des mains,
Aucun véritable souvenir ;
Que celui de l'existence même.
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