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En t'attendant.

13 juillet 2014

J'arracherai mon masque,Et ma stupide armure,Mes

J'arracherai mon masque,
Et ma stupide armure,
Mes scarifications,
De guerrier de l'absurde.

Et je viendrais poser, ma tête d'enfant sage...

 

J'ai plus que commencé, il ne reste pas grand chose sur le squelette que j'étais déjà ; mais ça faisait longtemps qu'on avait pas croisé du Thiéfaine par ici ; au milieu de toute cette techno, c'est agréable. Et je voudrais poser, ma tête d'enfant sage.

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15 août 2013

Il y a des périodes comme ça, tout a un gout de

Il y a des périodes comme ça, tout a un gout de fin. Les gens, les soirées, se regardent en silence, avec cette attente froide et méprisante. Cette attente, 

11 février 2011

T'attendre.

Jusqu'à l'overdose.

6 février 2011

Recommencer.

Toucher terre.

Jouer avec mes mains. Prendre le temps. Regarder autour.
La lune et les étoiles sont belles. Lointaine.

S'il y a un trésor, je le trouverai.
En attendant, s'user à le chercher.

En attendant, la fuite, l'abandon.
De cet impossible trésor.

28 janvier 2011

A nous, les trésors !

Il ne reste rien, par ici, que des corps abandonnés dans mon décor brûlé !
Il y a quelque chose de magique à parcourir ces ruines vides de vous.

Il ne restera rien qu'un grand coffre en bois, enterré si profond que nul ne le déterrera jamais !
C'est dans le sable que pour l'éternité vivent nos souvenirs.

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4 avril 2009

Derrière les murs de vos cités.

Le carnaval est permanent ;
Il termine demain ;
J'ai ressorti le manteau blanc du vide de l'oubli.

Cette nuit, j'ai rêvé du temps qui passe et m'échappe ;
De poissons rouges nageant au-dessus de la moquette ;
Dévorant ses cheveux, son visage ; d'ange.

J'ai le souvenir vague d'un autre carnaval ;
Lointain, un visage, des mains,
Aucun véritable souvenir ;
Que celui de l'existence même.

27 mars 2009

Partir !

1- Loin.
2- En moi.

23 mars 2009

Oublie le naturel ; cherche la limite.

Mourir malheureux,
Ne rien regretter ;
Je sature de tout,
De toi, surtout, d'elle,
Du jour et de la nuit ;
Je suis las ;
Je veux du sang,
Sur la table,
Sur tes lèvres.

Oublier le naturel ;
Chercher la limite.
Tesson d'bouteille,
Dans la gueule,
Le goût de la nuit,
L'envie de partir ;
Le besoin presque.

Destination,
Idée - étrange -
Vers l'avenir ;
Et le goût du passé.
L'alcool fort ;
Et les idées,
[...], tu vois.

21 mars 2009

Zombies.

7 mars 2009

Lundi, Lundi, Lundi, Lundi, Lundi, Lundi.

Je me reprends les mots dans la gueule ;
Allongé dans l'obscurité d'une nuit,
Où les ondes se glissent étrangement.

Je me reprends mes mots, dans la gueule ;
Le début ; et la fin. Tout est vrai.
Et ça devrait même être la morale de l'histoire.

Je t'aime ; et je t'aimais déjà avant ;
Et même, entre les deux. Pour dire.

Sauf que ; si je te dis tout ça ; si je te le dis encore ;
N'y crois jamais.
Pour de vrai. Jamais !

C'est même pas faux, tu vois ; enfin tu lis pas,
Mais il faut pas ; il faut plus ; comme tu veux,
Abîmer, c'est fini ; d'main j'deviens grand ;
Et j'm'en prends plus qu'à moi.
Ça doit bien finir un jour, de toutes façons.
Ça peut pas toujours être le bordel ;
De ma tête, à mon ventre.

La bonne nouvelle ; finalement, qui restera ;
C'est que les champ', en fait, c'est pas fini.
Alors, Inch'Allah.

[Il y a deux nuits, j'ai rêvé de C., on était en Italie, dans un genre de futur. Flippant, mécanique. Et j'les niquais bien avec mes vieux tickets de bus, les machines du futur. C'était marrant, même qu'elle était amoureuse d'un autre ; et moi je m'en foutais. J'avais ces lèvres, le temps d'un rêve. Avec le même goût, la même douceur, étrange et folle, d'en vrai.]

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